SAISON 22 : du 10 octobre 2016 au 10 avril 2017

Assemblée générale de l'association le 13 mars 2017

 

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 12:00



RÉUNION DE FIN DE MOIS DE
L’ASSOCIATION « LA ROUSTIDE-COURS JULIEN » 
30 novembre 2009

Présents sous réserve d’oubli: Jean-François, Cathy, Olivia, Murielle, Gaëlle, Laurence, Julian, Max, Bertrand, Maryline, Laurence, Laurent, Emilie, Nico, Christine, Michel, Jérôme, Mireille.

 

Point sur les paniers manquants

 

En tout, 20 gros paniers manquants.

 

Les paniers sont répartis de la façon suivante :

- Istres : 49 petits et 13 gros

- Martigues : 63 petits et 18 gros (+4 paniers à l’essai)

- Marseille : 93 petits et 13 gros

- Hangar : +1 gros

- Nîmes : 27 petits et 4 gros

- Villeneuve lès Avignon : 12 petits et 7 gros

 

Solutions envisagées ou déjà en cours :

- Un article dans la Provence le WE dernier devrait avoir des retours positifs;

- Un restaurant d’Istres prend 2 gros paniers toutes les semaines;

- Une épicerie solidaire à Marseille;

- Le restaurant « la Cantinetta » (c’est ça ?) pourrait être intéressée par des légumes frais;

- La proposition d’Armand (de Villeneuve) d’acheter des paniers « découverte » pour en faire profiter ses proches est appréciée mais elle ne nous semble pas une solution pour Marseille pour des questions de gestion au coup par coup, il est demandé à Jean-François le volume de réserve de son camion pour la livraison sur Marseille.

 

Point sur le projet-verger
La tombola des portes ouvertes de novembre a rapporté 360€, qui se cumulent avec les 430 € de l’année dernière. Donc 790€.
Il sera fait un point des sacs vendus et restants. Le seuil de rentabilité a été atteint et les ventes sont donc 100% au bénéfice du verger.
Jocelyne doit faire un point des dépenses restant à faire pour le verger, ainsi qu’un point sur les dons acquis.Deux difficultés se cumulent pour essayer de trouver des financements pour le verger : 

- Le fait de se situer entre 2 régions (PACA pour 3 AMAPs, et Languedoc-Roussillon pour les autres et le verger);

- Le fait que le verger soit « l’affaire » de  privé et d’associatif;

- Un 3° point aussi est le fait que le verger soit déjà crée. Beaucoup de subventions sont réservés à des « projets ».

 

Pour essayer d’effacer ces difficultés, plusieurs propositions se dégagent des réflexions du groupe-verger :

- Une seule AMAP (ex : Marseille) se chargerait du verger vis à vis des financeurs, Jérôme confirmant par ailleurs que PACA est plus riche que LR. Bien entendu, toutes les autres AMAPs et AMAPiens seraient associés, mais on garde l’idée d’une asso par rapport à l’aspect administratif;

- Création d’une association spécifique au verger, avec pour inconvénient de perdre l’antériorité des actions depuis le début;
- Rencontre avec ESIA, un bureau qui fait du conseil aux assos, pour optimiser la situation;

- Notion d’utilité publique ? A creuser.

 

Pour finir, Jean-François doit nous faire un calendrier des ateliers pédagogiques du verger à prévoir. 

 

Journée formation
Il est décidé une journée formation le samedi 12 décembre pour rebâchage de 4 serres. Information à faire +++ lundi prochain (flyer, panneau, et blabla personnes) et sur le blog. 
Rappellons que la participation à ces ateliers de formation est libre et volontaire, et en aucun cas payée d’une quelconque façon et encore moins par des paniers ou des déductions sur les paniers ou des légumes supplémentaires…

L'AG annuelle
La date est fixée au 27 février 2010 (samedi après-midi) pendant la période creuse de l’année. L’accent est mis sur le travail nécessaire en amont sur les questions à traiter (statuts, annualisation etc…) pour présenter à l’AG des propositions et les soumettre au vote. 
Lieu à définir, de préférence hors du centre social. 

 

Communication
Gaëlle relance l’idée d’un groupe de travail sur la communication auprès des amapiens, afin de les fidéliser grâce à une meilleure compréhension des objectifs d’une amap ; elle est volontaire pour ce travail ainsi que Laurence. Les inscriptions sont ouvertes! 
Il est reparlé d’une feuille de choux à mettre dans les paniers.
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5 décembre 2009 6 05 /12 /décembre /2009 18:00
Dans notre dernier panier on avait tout ce qu'il fallait pour une dernière ratatouille... à base de tomates vertes que vous avez encore certainement sous la main. Combinée à la courge spaghetti... voici ce que cela donne!


Avec les tomates vertes, j'ai aussi préparé une Tarte fine aux tomates vertes et oignons... et son crumble parfumé!







Ingrédients

- 1 courge spaghetti de taille moyenne (1, à 2 kg)
- Ratatouille
- 100 à 200g de râpé (emmenthal, gruyère...)
- 250 g de mozzarella
- 2 c. à soupe de chapelure
- Huile d'olive
- Sel et poivre

Ratatouille
- 2 aubergines
- 2 courgettes
- 6 à 10 tomates vertes
- 2 oignons
- 2 à 4 poivrons
- 2 c. à soupe de concentré de tomates
- 2 feuilles de laurier
- 6 gousses d'ail
- Huile d'olive
- Sel et poivre



Préparez la ratatouille avec les tomates vertes et le concentré de tomates ...

Épluchez les gousses d'ail et les oignons. Émincez les oignons. Coupez les tomates en quartiers, les courgettes et les aubergines en cubes. Videz les poivrons puis coupez-les en morceaux. Réservez les légumes séparément! Dans une sauteuse ou une cocotte en fonte, faites saisir l'oignon dans un peu d'huile d'olive jusqu'à ce qu'il soit bien dorés. Ajoutez l'ail et faites revenir quelques minutes. Réservez dans un grand plat ou saladier. Dans cette même sauteuse ou cocotte, faites saisir les courgettes en rajoutant un filet d'huile d'olive et laissez cuire jusqu'à ce qu'ils soient dorés mais encore légèrement croquants. Réservez avec les oignons. Procédez ainsi pour les poivrons et les aubergines. Une fois tous les légumes cuits, remettez-les dans la sauteuse ou la cocotte. Ajoutez les tomates, le concentré de tomates et les feuilles de laurier. Salez et poivrez. Laissez cuire à feu doux, couvert pendant 60 minutes. Enlevez le couvercle et cuire au moins 30 minutes. Rectifiez l'assaisonnement. Notez que la cuisson de la ratatouille avec les tomates vertes est plus longue que celle préparée avec les tomates rouges.


Pendant ce temps, préparez la courge spaghetti... Voir les nouvelles recettes à base de courge spaghetti!

Faites cuire la courge spaghetti à l'eau. Utilisez une grande marmite dans laquelle vous posez la courge. Courir d'eau. Salez l'eau et amenez à ébullition. Laissez cuire environ 20 minutes ou jusqu'à ce que la pointe d'un couteau perce facilement la chair de la courge. La refroidir puis la coupez en deux. Retirez la chair et égouttez-la bien.

Dans un plat à gratin, répartissez la courge spaghetti mélangée à la ratatouille (quatité désirée... mais environ le même volume que la chair de courge) et au râpé. Étalez la mozzarella coupée en fines tranches. Parsemez de chapelure. Salez, poivrez et arrosez d'un filet d'huile d'olive.

Enfournez à 210-220°C dans le milieu du four pendant environ 30 minutes ou jusqu'à ce qu'une petite croûte se soit formée sur le dessus.

C'est un gratin qui rend beaucoup d'eau, utilisez une ratatouille bien réduite.



... Made By TitAnick


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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 09:00

Rappellons que votre présence à ce chantier participatif est libre et volontaire, et en aucun cas payée d’une quelconque façon et encore moins par des paniers ou des déductions sur les paniers ou des légumes supplémentaires… Le seul objectif est de créer des moments de convivialité et de découvrir la vie d'une exploitation agricole.
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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 14:01

 



« Les vieux adorent manger des cacahuètes. Ça leur rappelle leur dent. »

                                                                                                          Jean Yanne

 

 


In cacaguate veritas

 

« Les français aiment les cacahuètes à l'apéritif

J'aime les cacahuètes

Donc je suis français»

 

            Ce syllogisme pourrait quasiment résumer à lui seul l'attachement qu'ont les français en faveur de la cacahuète. Friandise autant appréciée de nos pachydermes que de l'occidental européen, l'arachide est l'élément incontournable de ce moment convivial. Élevée au rang d'offrande divine, des métaphores flatteuses lui ont été adressés par les poètes adeptes de la « fée verte » : un apéritif sans cacahuètes, c'est comme une porte sans chambranle, comme un cyclotron sans électron, comme un russe sans vodka, comme un PMUiste sans nez crevassé rouge... bref, l'omission d'une profusion d'arachides serait faire preuve d'un manque de savoir vivre regrettable.

 

La cacahuète est omniprésente à travers le monde :

            - L'occident, ayant une prépondérance à tendre vers la pensée unique, n'envisagent la  cacahuète que dans trois types de consommation : cuite pour « l'apéro »  (utilisation quasi exclusive en Europe),  en beurre aux États-Unis et enfin, utilisé dans sa forme la plus vulgaire d'huile pour friture (en désuétude actuellement, huile de colza ou de tournesol lui étant préférées).

            - L'orient octroie une place plus noble à l'arachide en l'incorporant à ses plats de résistance. (sautée au wok pour rehausser les légumes ou poulets, elle est également incorporée en beurre dans les sauces asiatiques)

            - En Afrique, elle rentre dans la composition de nombreux plats dont un des plus célèbres : le mafé.

            - Aux Antilles, on l'apprécie en la mélangeant avec du caramel, pour donner le « nougat pays » ou « nougat pistache », en référence à son appellation locale de « pistache de terre ».

 

            Ce don d'ubiquité qui en fait sa renommée mondiale, lui impose une kyrielle de sobriquets qui participe à la confusion ambiante. Un défrichage étymologique de la cacahuète et de l'arachide est des plus judicieux afin de mieux appréhender ses subtilités.

 

 

L'étymologie : 

              

            Pour le vocable cacahuète, son étymologie est le corollaire de ses origines sud-américaines. Elle proviendrait du mot aztèque tlacacahualt, de tlalli « terre » et cacahualt « cacao », et a été véhiculée en Europe par l'intermédiaire conquistador : cacaguate. Ainsi, de par l'héritage aztèque, considérons nous la cacahuète comme du cacao de terre. Mais tous les pays n'adhèrent pas à cette version cacaotée, et chacun se targue de sa propre comparaison. Ainsi, pour l'Allemagne et la Suisse Alémanique, elle est nommée respectivement Erdnuß, littéralement « noisette de terre » et Spanische Nuss, noix espagnole. Le botaniste éclairé, soulignera la gravité d'un tel acte et l'ignorance des germanophones. C'est d'une rime que je pourfends ces idées préconçues :

                                               « Considérée à tort pour une noix, elle est de la famille des pois .»

Ainsi, touchons nous à la classification officielle de la cacahuète, qui est bel et bien une légumineuse, cousine des haricots blancs.


            L'hybride anglais, peanuts, oscille entre le préjugé et la vérité, avec nuts pour « noix » et pea pour « pois », et nous prouve que le britannique, à l'instar du normand, manipule l'ambivalence avec courtoisie, satisfaisant les deux camps opposés dans une vérité approximative.


            On remarquera pour autant qu'avec ces suppléments d'exemples (portugais : Amendoin, petite amande, aux Antilles françaises : pistache de terre, ... et je vous épargnerai la version bulgare : ФƂCƬƂƘ), que chaque peuple opte pour une nomination de la cacahuète par comparaison avec sa flore locale. Pour cette gousse bi-sphérique, et dans un souci de morale pudique, il est heureux qu'il en soit ainsi : le référentiel floral est préférable à celui du corps humain.


            Je terminerai cette liste non exhaustive par cet élan de poésie chinoise, à qui j'attribue la palme du peuple poète avec son lo hua sheng, signifiant «la fleur tombante qui donne naissance», qui pourrait prêter à l'ironie par son côté emprunté, style inimitable chinois, s'il ne reflétait pas une profonde connaissance en botanique. En effet, l'appellation chinoise vulgarise poétiquement le système de germination de l'arachide, qui est de nature sophistiqué[1]. Sous les chaleurs estivales, la fleur de l'arachide tire sa révérence pour donner naissance au gynophore, l'équivalent du cordon ombilical floral, (son étymologie est là pour l'attester gyné : femme, phore : qui porte), porteur de l'ovaire fécondé. Ce dernier nécessitant un endroit humide et obscur pour prospérer, le gynophore débonnaire, par l'entremise d'un géotropisme positif, se dirige vers le sol pour enfouir son trésor. Là, à l'abri de ce monde de brute et de la musique de Mireille Mathieu, dans son cocon protecteur, le foetus deviendra homme, l'ovaire, cacahuète.

 

            Pour le mot arachide, deux écoles s'affrontent quant à son origine. L'école péripatéticienne s'orienterait vers une origine helléniste, arakos, qui signifierait « pois chiche », sans toutefois en être sûr. L'école pataphysicienne opterait plutôt pour une origine arabe, dérivée d'un courant artistique. Le peintre Rachid Ali, grand amateur de nature morte à l'huile, est d'une grande renommé au Maghreb. Il aurait créé une grande ferveur autour de sa pratique. Et tous ceux qui s'essayèrent à le pasticher par des peintures à l'huile furent nommer les huiles d'Art-Rachid.


            A l'heure actuelle, une lutte picrocholine sévit ardemment dans le microcosme de l'étymologie, et l'issue du combat étant incertaine, nous incite à la plus grande prudence quant à la détermination d'une seule origine pour arachide.

 

 

L'arachide, nouvelle unité de mesure ?

 

            La cacahuète peut aussi être un critère d'évaluation du volume crânien, se partageant le marché avec le pois chiche. A titre préventif, je tiens à mettre en garde le vulgum pecus que cette comparaison ne peut être perçu à titre de compliment, même pour les amateurs d'arachide. Et, si un jour, un malotru valeureux suppute que votre masse cérébrale s'apparente à cette légumineuse, vous saurez que vous êtes en terrain hostile.


            Si de valeureux il passe à la témérité en osant renchérir par cette réplique supposée péremptoire: "il a deux noix en bas et une cacahuète en haut ! C’est un véritable noyer ambulant ![2]", ne vous laissez pas intimider par son verbe haut, car grâce à vos nouvelles connaissances en matière d'arachide, vous avez la répartie nécessaire pour faire face :


            "Monsieur, votre argumentaire si plaisant soit-il, m'apparaît bien insidieux, et pour votre gouverne, je tiens à rétablir l'ordre des choses : la cacahuète n'appartient pas aux juglandacées[3]mais bel et bien aux fabacées. De plus elle se distincte de la noix par son origine floral : arbre pour l'une, plante pour l'autre. Vous conviendrez avec moi que dorénavant vous emploierez plutôt noisette, plus proche de la noix, pour qualifier un individu pleutre et ignare. Mais j'aimerais m'attarder également sur une des caractéristiques de l'arachide, à savoir sur le gynophore qui...".

 

 

            Méfiez-vous de sa riposte, une attaque verbale chauffée à blanc, peut provoquer le brandon de la discorde en se concluant généralement par l'envoi d'un marron (famille des fagacées).

 

 

L'incurie sous la gousse :

 

             Sous ses apparence de plante miracle, la cacahuète peut engendrer quelques désagréments épidémiologiques : notamment les redoutables aflatoxines dues à des moisissures dans les stocks.


            Cependant, un fait récurrent inquiète davantage les autorités publiques. Certains le prennent pour vérité absolue, d'autres pour une légende urbaine : les ramequins de cacahuètes sur les tables et comptoirs des bars contiendraient x traces d'urines (le nombre variant en fonction de la longueur de la chaîne humaine de la rumeur, de l'ampleur de la soirée, et du taux d'alcool).


            Cette histoire écumant généralement les tavernes mal famées, elle est contée par quelques joyeux ivrognes en quête d'ouailles généreux. Le spectateur quelque peu alcoolisé,  se laisse envoûter par cette narration audacieuse et originale. Admirant tant d'élocution, il convient qu'un candide aurait pu s'y laisser piéger. L'orateur sentant son public conquis et proche de l'offrande tant méritée, porte l'estocade : pour convaincre son auditoire, il appuie son argumentation sous l'égide d'une étude scientifique. La brume féerique et les vapeurs d'éther qui berçaient les convives ébahis, se dissipent sous le souffle de cet argument irrecevable.  Le scepticisme s'empare des auditeurs doutant de l'existence d'une étude aussi saugrenue. La plupart des quidams en sont restés à cette réflexion : légende urbaine ou réalité incroyable ?


            Je tiens ici à démasquer les faux semblants et je vous répondrai que parfois la réalité dépasse la fiction. Ainsi, je tiens à remercier chaleureusement le Pr F.Saldmann, qui a publié cette étude dans son livre « Les nouveaux risques alimentaires » paru en 1997[4]. Grâce à lui, une sordide appréhension est le corollaire indissociable de chaque poignée de cacahuètes.

           

            Hormis les coprophiles qui ont accueilli cette nouvelle avec enthousiasme, le Pr Saldmann a subi la fronde du syndicat des professionnels de l'arachide. C'est un véritable maelström qui a secoué le petit monde de l'arachide, et le syndicat, représenté par son homme de main influent, M. Jimmy Carter, producteur américain d'arachide et accessoirement 39ème président des USA a publié ce communiqué officiel pour ôter tout soupçon :

 

             " Notre syndicat émet quelques réserves quant à la rigueur scientifique déployée par le Pr Saldmann pour obtenir un tel résultat. Nous tenons ici à certifier que nos arachides sont vendues sans colorant, sans arôme et sans urine. Bien que des  tests en laboratoire aient été effectués, l'urine s'est révélée un piètre conservateur. De plus, elle s'est avérée  d'un pouvoir gustatif extrême, imprégnant la cacahuète, d'un goût de pissotière citadine. Sélectionnant des cobayes potomanes, nous avons bien essayé de les abreuver abondamment pour obtenir une urine claire, sans odeur ni goût, le résultat n'a pas correspondu à nos attentes initiales. Quelques conséquences fâcheuses sont intervenues par la suite : les goûteurs, devenus anosmique et agueusique suite à une exposition prolongée aux relents uréiques, ont porté plainte pour abus de confiance. Le poids en cacahuètes offert à chaque plaignant nous a permis d'étouffer l'affaire. Bref, ce n'est pas nous; l'urine est indépendante de notre volonté. Par conséquent, nous nous indignons du manque d'hygiène des consommateurs."

 

 

Désir suprême :

 

            Se dédouanant de toutes responsabilités sur ce fait, ils proposent de distribuer gratuitement des sachets individuels sous vide pour rassurer la population.


            Cette générosité suspicieuse, n'émane pas de leur philanthropie mais se base sur les vices  humains pour en tirer quelques subsides. En effet, la cacahuète est aussi le vecteur d'impulsions alimentaires prononcées. L'addiction culmine à ces deux extrêmes : l'hyper-salinité et l'hyper-sucrant, se concrétisant sur le plan culinaire, par ces deux exemples : les cacahuètes pour l'apéritif salées à outrance, et celle enrobées de caramel, communément appelées « chouchou ».


            L'addiction à la pinote[5] est souvent couplée à celle télévisuelle; l'espace de temps libre cérébral étant accaparé par la TV, l'espace stomacal libre est copieusement comblé sous une pluie d'arachides. L'addiction ne s'arrêtant qu'à saturation ou raréfaction de la matière première. Quelques illustres personnages, ont succombé aux sirènes de la tentation, notamment Orson Welles qui nous le témoigne avec franchise : « Je hais la télévision. Je la hais autant que les cacahuètes. Mais je ne peux m'arrêter de manger des cacahuètes. »

 


            Cet article l'atteste, la cacahuète mène à tout : poésie, coprophilie, apéritif, président des Etats-Unis, addiction alimentaire,... mais le bouquet final est détenu par  M. Benjamin[6], qui soutient la thèse que l'arachide implantée au Sénégal au XX ème siècle, sous le joug du colonialisme français, aurait été un facteur d'expansion de l'islam. Suite à ce prosélytisme floral réussi, les fervents adeptes ayant vu un symbole messianique dans cette plante, créèrent cette locution latine, traduite de l'arabe : In cacaguate veritas [7].

 

 

« Le contenu d'une cacahuète est suffisant pour que deux amis puissent le partager. »

                                                                                              Proverbe burkinabé

 

 

                                                                                                                                 Guirec


[1] Se calquant sur ce modèle, notre comité de défense des légumineuses propose de renommer la cacahuète: "entremet d'apéro qui donne soif"

[2] Réplique tirée du film Snatch dont voici la version officielle : « il a deux noix en bas et une noisette en haut ! C'est un véritable noisetier ambulant! »

[3] Famille des noix

[4] Le lecteur notera ici que le nombre de traces d'urine officielle est de 14

[5] Version québécoise de la cacahuète

[6] Voir le site : http://www.oboulo.com/mouridisme-culture-arachide-56014.html

[7] Tiré de la locution latine : In vino veritas


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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 12:00


Dans la dernière lettre du réseau URGENCI... vous trouverez un article sur la création, le soutien et les aboutissements de notre verger!



INTERNATIONAL NETWORK

 
 
NEWSLETTER 27 LETTRE DU RÉSEAU 27
November 2009 Novembre 2009

Version française
http://www.urgenci.net/page.php?niveau=1&id=Actualites

Lettre d’information n°27, Sommaire

1. Activités du Réseau
1.1 L’essaimage d’Urgenci en Europe de l’Est : le modèle letton, par Marija Haitina et Jocelyn Parot
1.2 Appel à contributions
1.3 Calendrier
2. Actualités internationales
2.1 Où nous mènent les AMAP ? Les résultats d’un engagement citoyen, par Nicolas Gros
2.2 Actualités européennes: Multiplication des rencontres entre GAS italiennes et AMAP françaises
3. Portrait
Les CSA en Norvège 2009: deux initiatives différentes, par Aage Steen Holm

International Network URGENCI
5 rue J.J. Rousseau - 13400 Aubagne - France
Website :
http://www.urgenci.net
Suscribe/Unsuscribe : contact@urgenci.net


Où nous mènent les AMAP ?
Les résultats d’un engagement citoyen.

Par Nicolas Gros, AMAPien marseillais auprès de Jocelyne et Jean-François depuis 2006.



Trois AMAP:
La Roustide Cours Julien de Marseille, La Roustid’Istres et A Tout Bio de Martigues, en coresponsabilité avec leurs paysans Jocelyne Fort et Jean-François Mallet, ont poussé leur engagement citoyen. Au début de l’été 2007, après avoir soutenu l’exploitation maraîchère de La Roustide (Gars) pendant plus de trois saisons, elles ont décidé de l’accompagner vers une autonomie en production de fruits. Un verger biologique d’hiver et d’été, composé de 500 arbres avec plus de 50 variétés anciennes et 300 pieds de raisin de table, en est le résultat. Depuis sa création, un autre groupe de consom’acteurs de Nîmes s’est formé pour apporter leur appui à Jocelyne et Jean-François et contribue au soutien du verger.

Les soutiens sont nombreux
. A la création du projet, les dons des AMAPiens et d’autres personnes touchées par les portées écologique et citoyenne du projet, ont permis l’achat des plants et le défonçage des terres. Les AMAPiens citadins ont chaussé leurs bottes pour mettre en terre les plants. Le pépiniériste s’est engagé à remplacer les plants qui ne prendraient pas (comme les kiwis qui ont subi l’attaque du mildiou). Des tombolas et la vente de sacs aux couleurs du verger permettent de subvenir régulièrement aux besoins pour l’enherbage, la pose de l’irrigation, la taille… Régulièrement, les AMAPiens viennent donner un coup de main pour l’entretien. Invitée au Conseil de l’Europe, Jocelyne a terminé son intervention sur la pauvreté par la présentation du verger. Comprenant l’impact que ce projet représente, l’ensemble du conseil a applaudi !
Les 500 arbres ont été inscrits au projet du Programme des Nations Unies pour l’Environnement : « 1 million d’arbres pour la planète ! » Malgré tout, les dons restent ouverts et les initiatives sont toujours les bienvenues car le financement n’est pas complet.

Lorsqu’on demande à Jean-Francois (arboriculteur de formation) ce que représente pour lui ce verger, il nous répond : « C’est l’âme de nos AMAP. Les AMAPiens partiront peut-être. Le verger restera ». Sachant que lui aussi partira, il rajoute : « Après nous le verger ! »

  • Mais alors qu’est ce qui pousse tant de personnes à soutenir le verger?

1- L’acte écologique
À l’heure où le développement durable est sur toutes les bouches, alors que le changement climatique semble être un fléau inéluctable, que la déforestation continue dans certains pays de notre planète, il est compliqué pour l’individu de trouver le bon niveau d’action alors que les enjeux sont mondiaux et les problèmes systémiques.
Dans ce contexte, l’engagement dans une AMAP qui soutient et accompagne un producteur en agriculture biologique prend encore plus de sens. La création de 2 ha de verger biologique permet de renforcer cette démarche citoyenne comme un acte écologique à portée de main face à ces problématiques difficilement abordables par tout un chacun.

2- La biodiversité
Alors que toute entreprise semble tendue vers le rendement maximum, leur choix est bien souvent une recherche d’industrialisation accompagnée d’un contrôle strict des intrants, des processus et des produits pour satisfaire le consommateur qu’on a au préalable formaté. Comment peut-il en être de même lorsqu’on parle du vivant ?
C’est pourtant bien ce qu’on peut observer avec les techniques modernes d’agriculture. Nous assistons à une disparition de variétés au profit de celles qui sont contrôlées, mettant ainsi en péril, non seulement l’équilibre précaire de l’écosystème naturel, mais à terme, notre capacité à subvenir à nos besoins alimentaires. Ne dit-on pas qu’ « il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier » ?
Pour des raisons qui ne semblent plus évidentes pour tout le monde, le verger permet de maintenir en vie plus de cinquante variétés anciennes d’arbres fruitiers. Non seulement ces variétés vont se perpétrer durant plusieurs générations, mais cette diversité assure la durabilité du verger en réduisant l’impact potentiel d’une maladie. De plus, ayant des cycles de floraison décalés, les différentes variétés d’un même fruit permettront d’étaler les récoltes au bonheur des AMAPiens, en réduisant de fait les problèmes de stockage et les éventuelles pertes.
En revitalisant de la sorte une partie de l’écosystème, c’est l’ensemble de celui-ci qui se retrouve renforcé. « Quand on parle de fraises, les gens ont les yeux qui pétillent en pensant à ces fruits. Mais une serre de fraises « ne fait pas grand-chose ». Il faut entrer dans un verger en fleur au printemps pour comprendre. C’est un enchantement ! Des milliers d’abeilles sont à l’œuvre. C’est un véritable espace de vie ! » déclare Jean-François.


3- Les générations futures
À la différence des cultures maraîchères de légumes qui bien souvent observent un cycle de vie de plusieurs mois, un verger a quant à lui une vie qui s’écoule sur plusieurs générations humaines. La mise en place de ce verger est donc un acte d’une portée difficile à égaler dans une société de consommation où le plaisir immédiat et le profit individuels priment. « Ils ont planté, nous avons mangé. Nous plantons, ils mangeront » signent Abdelkader, Murielle et Lys (AMAPiens de Marseille) dans le livre d’or du verger.

4- Le plaisir de planter un arbre et de le voir grandir
« Qui plante un arbre vit pour l’éternité » écrit dans ce même livre Zakaria, AMAPien de Marseille.
Il n’y a pas grand-chose à rajouter. Qui s’est déjà occupé d’une plante, qui a des enfants peut comprendre le bonheur que procure un geste qui protège et entretient la vie !

5- L’autonomie de nos paysans
Jusqu’à présent, Jocelyne et Jean-François produisent des fruits d’été (melons, pastèques, fraises, framboises) en maraîchage. Le reste de l’année, par volonté de nous fournir un panier diversifié, ils achètent des agrumes, pommes, poires, figues et kiwis à des producteurs bio. Ce fonctionnement ne nous donne pas entièrement satisfaction car il est en marge du fonctionnement d’une AMAP, il nécessite un budget conséquent pour l’exploitation et il engendre des déplacements supplémentaires de véhicules.

Cet été, le verger a donné ses premiers fruits mais rien de suffisant pour pouvoir remplir les paniers. Nous commencerons à goûter les premiers fruits de nos paniers au cours de l’été 2010. La production augmentera jusqu’à atteindre son maximum au cours de l’année 2012. Un emploi pourra alors être créé.

L’action que nous menons avec nos paysans est bien moindre au regard de leur engagement auprès des paysans en difficulté par l’intermédiaire de Solidarité Paysanne, à leurs nombreuses interventions dans les organismes de formation, à l’accompagnement des paysans pour l’essaimage d’AMAP… Sans eux, rien de tout cela ne serait possible. Nous aimons nos paysans !


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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 15:12
Un article issu du blog De La Fourchette aux papilles estomaquées... (Courge spaghetti... modes de cuisson et idées recettes!" )! A ma connaissance, il existe trois modes de cuisson de cette courge.. au four,  à l'eau bouillante et au micro-ondes! Peut être à la braise? Et plusieurs manières de l'apprêter!

Ingrédients

- 1 courge spaghetti de taille moyenne
- Sel
- Poivre
- Sauce (coulis de tomates assaisonnées, ratatouille, bouillon de volaille, bouillon de boeuf...)
- Fromage (emmental, gruyère, parmesan...)



Brossez la courge spaghetti pour la débarrasser de la terre. Cuire la courge en utilisant une des trois méthodes suivantes. Dans tous les cas, une fois cuite, extraire les pépins de la courge avec une cuillère, puis détachez la chair qui se présente sous la forme de longs filaments en forme de spaghettis. Conservez les graines pour l'apéro : Graines de courge séchées (cuites) au sel !



Pour la méthode de cuisson à l'eau :
Utilisez une grande marmite dans laquelle vous posez la courge. Courir d'eau. Salez l'eau et amenez à ébullition. Laissez cuire environ 20 minutes ou jusqu'à ce que la pointe d'un couteau perce facilement la chair de la courge. La refroidir puis la coupez en deux.

Préférez cette méthode de cuisson si vous n'avez pas besoin du four pour gratiner la chair de votre courge. Par exemple, après avoir récupéré la chair de la courge, vous la faites revenir avec un oignon et/ou de l'ail dans un peu d'huile d'olives, puis vous ajoutez une sauce que vous incorporez à la chair. Salez et poivrez. Réchauffez et servez aussitôt avec un peu de fromage.

Pour la méthode de cuisson au four :
Préchauffez le four à 180°C (350°F°). Coupez la courge en deux. Posez les deux moitiés sur une grille ou sur une plaque à cuisson, la chair vers le haut. Pour éviter qu'elle ne sèchent trop vous pouvez les badigeonner d'huile d'olives au pinceau. Cuire environ 35 minutes ou jusqu'à ce que la pointe d'un couteau perce facilement la chair de la courge. Préférez ce mode de cuisson dans le cas où vous utilisez la chair pour en faire un gratin. Par exemple, après avoir retiré la chair de la courge. Farcir les peaux d'un mélange de chair de courge et d'une sauce. Salez et poivrez. Saupoudrez de fromage puis gratinez.

Pour la méthode de cuisson au micro-ondes :
Ce n'est pas la méthode que j'utilise mais j'en parle pour ceux que ça intéresse! Percez la courge de plusieurs trous. La poser entière au micro-ondes et la cuire à coups de 10 minutes à intensité moyenne. Répétez cette opération jusqu'à ce que la pointe d'un couteau perce facilement la chair de la courge. Attention! Ainsi préparée, la courge aura emmagasinée beaucoup de chaleur! Évitez de vous brûler!



Mes suggestions


- Celle que je préfère c'est la courge spaghetti gratinée à la ratatouille.
- Courge spaghetti... modes de cuisson et idées recettes!
- Courge spaghetti au pesto de roquette et râpé
- Courge spaghetti au vin blanc, tomates, à l'ail et à la sauge
- Courge spaghetti gratinée à la ratatouille de tomates vertes
- Courge spaghetti poelée au basilic et à la tomate
- Galettes de courge spaghetti aux oignons et fromage
- Graines de courge séchées (cuites) au sel
- Gratin de courge spaghetti aux poireaux





... Made By TitAnick

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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 16:22



Une réunion inter amap s’est tenue le 8 novembre, lors des portes ouvertes à l’exploitation, pour échanger autour du contexte de crise qui secoue La Roustide. Après quatre semaines de la nouvelle saison, il manque encore environ 70 petits paniers pour assurer le revenu nécessaire au maintien de l’exploitation !

Il est possible de lire ce compte-rendu dans son intégralité en cliquant sur ce lien.


Chaque AMAP (voir liste des personnes présentes en fin de document) a présenté son contexte local en essayant de dégager des éléments d’analyse de la situation, avant d’entendre Jocelyne sur le contexte général vue de l’exploitation. Nous avons enfin évoqué quelques pistes pour trouver des solutions à très court terme, à moyen terme et à long terme.

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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 10:00
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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 16:28

Quatre semaines se sont écoulées depuis le renouvellement de saison.  Au niveau global, sur les 5 AMAP que distribuent Jocelyne et Jean-François, le bilan de ce renouvellement est alarmant !

 

Il manque à l’heure actuelle près de 24 000 € de chiffre d’affaires sur cette saison !

 

L’exploitation de La Roustide est en danger tout de suite car le nombre total de paniers ne permet pas actuellement d’assurer le chiffre d’affaires dont elle a besoin.

Elle est en danger dans l’absolu car c’est la première fois en trois ans qu’un problème d’une telle ampleur survient.

 

Cela repose des questions sur la viabilité à long terme du système AMAP et sur la porté réelle de notre engagement.

 

Que pouvons-nous faire au niveau associatif ?

Même si notre AMAP a rempli son quota de paniers depuis lundi dernier, nous ne sommes pas à l’abri des conséquences de ce problème. En effet, notre association est solidaire d’un système qui dépasse sa relation avec La Roustide et qui inclut les 4 autres AMAP.

Lors des Portes Ouvertes qui se dérouleront ce dimanche sur l’exploitation, nous organisons une réunion inter-AMAP pour aborder le problème.

Les objectifs de cette réunion sont :

- bien comprendre la situation de chaque AMAP

- comprendre la situation globale et ses impacts sur la survie de l’exploitation

- trouver des solutions au niveau local comme au niveau global.

Bien sûr, nous vous tiendrons informés de l’issue de cette rencontre.

 

Que pouvons-nous faire au niveau individuel ?

Notre soutien à l’exploitation est déjà exprimé par notre présence dans cette association.

Mais la porté réelle de ce soutien ne s’arrête pas là ! Il en va de la survie d’une exploitation, d’emplois, de valeurs telles que l’agriculture biologique, la biodiversité…

N’hésitons pas à engager la discussion sur ce sujet ou sur un autre, entre nous et avec nos paysans. Notre compréhension des enjeux et de notre action n’en seront que plus complètes.

 

Restons mobilisés autour de Jocelyne, Jean-François et leurs salariés !

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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 12:00


Classement alphabétique de recettes :
Cliquez sur les lettres de cette bande pour un accès plus rapide aux recettes !




Ail
Courgettes farcies à la brousse
Gnocchis aux brocolis, carottes, ail et basilic à l'huile
Orecchiette à la sauge, à l'ail et au citron
Soupe à l'ail provençale ou "Aigo Boulido"

Aubergines

Des aubergines dans mon panier... Que faire avec?
Aubergines farcies
Aubergines grillées
Aubergines marinées
Bouchées d'aubergine tomate-mozzarella
Caviar d'aubergines
Caviar d'aubergines au sésame
Moussaka
Tarte tatin d'aubergines




Betteraves

Bisalade de brebis : betterave ail ciboulette / roquette balsamique
Salade de betteraves à la roquette et au chèvre

Blettes

Que faire avec les blettes de mon panier?
Cannellonis ou lasagnes de blettes
Côtes de blettes sautées aux poivrons
Gratin de blettes
Gratin de blettes 2
Muffins salés aux blettes
Pizza aux blettes sans pâte
Sauce verte
Végi-burger

Brocolis

Gnocchis aux brocolis, carottes, ail et basilic à l'huile

Butternut (courge)
Des courges dans mon panier... Que faire avec?
Soupe de courge et gingembre
Soupe de courge butternut
Soupe épicée à la courge butternut (doubeurre) et à la pomme 
Velouté de courge et châtaignes




Cardes

Gratin de cardes à la sauce Mornay

Carottes

Carottes "chinoises"
Chausson à la carotte et au sésame
Chaudrée de maïs
Confit de radis colorés et carottes au miel de Provence toutes fleurs
Gâteau de carottes et raisins
Gnocchis aux brocolis, carottes, ail et basilic à l'huile
Potée aux chou, légumes d'hiver et haricots blancs
Sauce verte
Soupe aux lentilles, carottes, courgette, ail et tomates

Timbales de carottes au cerfeuil
Topinambours et autres légumes racines glacés

Céleri

Chaudrée de maïs
Gaspacho de légumes
Salade de Céleri cru
Soupe aux lentilles, carottes, courgette, ail et tomates

Chou

Chou farci
Potée aux chou, légumes d'hiver et haricots blancs
Sauce verte

Chou rave

Salade de chou rave
Choux raves poêlés

Citre

Confiture de citre : deux versions

Citronelle

Soupe style thaï à la citronelle, courge, crevettes et lait de coco

Concombre

Du concombre dans mon panier! Que faire avec?
Roulés de saumon fumé sur concombre
Soupe de concombres et poireaux

Courge

Des courges dans mon panier... Que faire avec?
Courge aux lentilles tomates et oignons en tajine
Pain d'épices au potimarron
Pâtisson au roquefort
Pâtisson farci aux pommes et aux noix
Soupe courge gingembre
Soupe de courge au lait de coco
Soupe de courge butternut
Soupe épicée à la courge butternut (doubeurre) et à la pomme
Soupe de courge et gingembre
Soupe style thaï à la citronelle, courge, crevettes et lait de coco
Velouté de courge et châtaignes

Courgettes

Des courgettes dans mon panier...
Cake chèvre courgette sésame
Courgettes à la menthe
Courgettes farcies à la brousse
Courgettes à la tomates et estragon
Gâteau de courgettes
Gratin de courgettes à l'agneau
Salade de courgettes, petits pois (ou fèves) et féta

Salade fenouil courgettes anchois

Sauce au cognac fleur de courgettes et minis courgettes

Soupe au pistou, la recette de Florence
Soupe aux lentilles, carottes, céleri, courgette, ail et tomates
Tarte courgette menthe
Végi-burger
Velouté de courgettes






Epinards

Feuilletés d'épinards au gorgonzola
Gratin de pâtes aux épinards



Fanes de radis
Fenouil

Épaule d'agneau à l'anis, lit de pommes de terre, ail frais et fenouil

Fenouil en gratin
Fenouil mariné au citron

Fenouil à la crème fraîche

Lou saussoun varois... un apéritif à tartiner à base de fenouil!

Que faire avec le fenouil, ses tiges et ses feuilles?

Salade fenouil courgettes anchois


Fève

Salade de courgettes, petits pois (ou fèves) et féta
Soupe au pistou, la recette de Florence


 




Haricots

Soupe au pistou, la recette de Florence






Légumes

Des aubergines, des courgettes, du poivron, du basilic et des tomates dans mon panier... Que faire avec?
Gaspacho de légumes
Lamelles de légumes à la poêle
Sauce verte
Soupe au pistou, la recette de Florence
Soupe aux lentilles, carottes, céleri, courgette, ail et tomates
Végi-burger



Maïs
Chaudrée de maïs

Menthe
Sirop de menthe
Tarte courgette menthe

Melon

Que faire avec un melon (jaune ou vert) pas sucré?
Salade de melon, tomates et basilic
Sorbet de melon sans sorbetière





Pâtisson (courge)

Pâtisson au roquefort
Pâtisson farci aux pommes et aux noix
Purée pâtisson, pommes de terre

Poireau
Soupe de concombres et poireaux
Tian de poireaux au basilic
Végi-burger

Pois

Salade de courgettes, petits pois (ou fèves) et féta

Poivron

Des poivrons dans mon panier... Que faire avec?
Bricks de poivrons à la fêta et aux oeufs
Gaspacho de légumes
Tarte poivrons curry coco
Poêlée exotique de poivrons et germes de soja
Végi-burger

Pomme

Rôti de porc épicé aux pommes, oignons et radis noirs
Soupe épicée à la courge butternut (doubeurre) et à la pomme
Tarte fine aux pommes beurre salé miel et romarin
Tarte fine aux pommes et à la compote

Pommes de terre

Que faire avec des pommes de terre?
Bricks aux oeufs, pommes de terre et oignons
Chaudrée de maïs
Lapin au cidre, oignons, navets et pommes de terre

Mini cakes à la pomme de terre et épices
Purée pâtisson, pommes de terre
Pommes de terre au romarin
Potée aux chou, légumes d'hiver et haricots blancs
Soupe courge gingembre

Potimarron (courge)

Des courges dans mon panier... Que faire avec?
Pain d'épices au potimarron
Soupe de courge et gingembre
Velouté de courge et châtaignes
Velouté de potimarron et lentilles






Radis

Confit de radis colorés et carottes au miel de Provence toutes fleurs
Confit de radis noirs
Gratin de fanes de radis
Rôti de porc épicé aux pommes, oignons et radis noirs
Soupe de fanes de radis

Soupe de radis noir et roses
Topinambours et autres légumes racines glacés

Roquette

Bisalade de brebis : betterave ail ciboulette/roquette balsamique
Salade de betteraves à la roquette et au chèvre




Salade

Pain de salade

Sauge

Orecchiette à la sauge, à l'ail et au citron
Soupe à l'ail provençale ou "Aigo Boulido"
Végi-burger
Filet mignon sauge-comté



Tomates

Des tomates dans mon panier... Que faire avec?
Beignets de tomates vertes
Bouchées d'aubergine tomate-mozzarella

Chutney de tomates vertes

Confiture de tomates vertes
Courge aux lentilles tomates et oignons en tajine
Courgettes à la tomates et estragon
Gaspacho de légumes

Pissaladière
Salade de melon, tomates et basilic
Salade de tomates à l'estragon
Sauté de poulet aux tomates et olives
Soupe au pistou, la recette de Florence
Soupe aux tomates vertes
Soupe aux lentilles, carottes, céleri, courgette, ail et tomates
Tarte croustillante à la tomate
Tranches de tomates vertes à la farine de maïs

Topinambours

Topinambours et autres légumes racines glacés




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